Palestine: Des martyrs et des blessés dans des bombardements sionistes contre des camps de réfugiés de la bande de Ghaza

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De nombreux palestiniens sont tombés en martyrs et d’autres ont été blessés après des bombardements aériens et des pilonnages d’artillerie et de la marine sionistes samedi contre des maisons de familles palestiniennes dans plusieurs camps de réfugiés de la bande de Ghaza, indique l’agence palestinienne.

Wafa.Ces bombardements ont notamment visé des maisons et des hôpitaux les camps de réfugiés de Nuseirat, Shujaiya, Ghaza, Khan Younes et Rafah, ont indiqué des sources locales citées par Wafa. Selon Wafa, les avions de combat de l’occupation ont bombardé une place résidentielle à proximité de la mosquée Al-Dawa dans le camp de Nuseirat, dans le centre de la bande de Ghaza, ce qui a entraîné le martyr de dizaines de citoyens, dont beaucoup restent sous les décombres sans que les équipes de la protection civile et des ambulanciers puissent les atteindre. Les avions de combat de l’occupation sioniste ont également bombardé, avec des tirs d’artillerie, les quartiers d’Al-Shuja’iya et d’Al-Zaytoun, à l’est de Ghaza.Le ministère de la Santé palestinien a expliqué de son côté que les forces d’occupation sionistes ont piétiné les tentes des déplacés avec des bulldozers militaires dans la cour de l’hôpital Kamal Adwan, dans le nord de la bande de Ghaza, et ont enterré vivants des dizaines de patients et de déplacés. Le même ministère a souligné que 12 enfants se trouvent toujours dans les couveuses de l’hôpital, sans eau ni nourriture, après que l’armée de l’entité sioniste a empêché leur évacuation, selon des équipes médicales, rapporte encore Wafa.Dans le sud, cinq palestiniens sont tombés en martyrs et des dizaines ont été blessés lors de bombardements aériens de l’occupation sioniste sur une maison de la ville de Khan Younes, alors que des navires de guerre de l’occupation ont tiré des obus et des tirs de mitrailleuses lourdes vers Khan Younes et Rafah, indique encore Wafa.Par ailleurs, la coupure de toutes les communications et services Internet dans la bande de Ghaza s’est poursuivie samedi pour la troisième journée consécutive, ce qui en fait la période la plus longue depuis le début de l’agression sioniste contre l’enclave palestinienne.Le nombre de martyrs s’est élevé à plus de 199.80 palestiniens, les blessés à plus de 51 000 depuis le début de l’agression de l’occupation sioniste contre la bande de Ghaza et la Cisjordanie occupée, dont 70 % sont des femmes et des enfants, rappelle t-on.

Des dizaines de Palestiniens tombent en martyrs dans des bombardements sionistes à Ghaza

Des dizaines de palestiniens sont tombés en martyrs et des centaines d’autres ont été blessés lors d’une série de frappes terrestres, maritimes et aériennes de l’entité sioniste sur la bande de Ghaza, a rapporté dimanche l’agence de presse palestinienne Wafa.Au 72ème jour de l’agression génocidaire sioniste sur la bande de Ghaza, au moins 20 civils sont tombés en martyrs lors d’une frappe aérienne de l’armée sioniste qui a ciblé plusieurs maisons à proximité de l’hôpital Ahly Arabi «El-Mamadani» et de la grande mosquée Al-Omari dans la vieille ville de Ghaza, selon un correspondant de Wafa.Par ailleurs, neuf Palestiniens sont tombés en martyrs dans un bombardement d’artillerie et des tirs de drones de l’entité sioniste dans le quartier d’Al-Zaytoun, au sud-est de la ville de Ghaza, tandis que six autres martyrs ont été dénombrés lors d’un bombardement des avions de guerre de l’occupation ayant ciblé une maison dans le quartier de Shoudjaia, à l’est de l’enclave palestinienne, précise la même source.Dans les quartiers de Nassr et de Sheikh Radwan, les chars et les véhicules blindés de transport de troupes sionistes poursuivent leur agression avec des tirs de drones, de missiles et d’artillerie, faisant des dizaines de morts et de blessés.Certains habitants ont réussi à enterrer plusieurs martyrs, dont au moins 20 sont issus d’une même famille, dans les cours de leurs maisons ou aux alentours, après que des avions de combat sionistes ont visé leur maison de quatre étages, souligne le correspondant de Wafa.Dans le quartier de Tal Al-Hawa, des avions de l’occupant sioniste ont bombardé deux maisons près du parc de Barcelone, blessant plusieurs civils, tandis que les ambulances n’ont pas pu leur porter secours en raison de la présence des soldats sionistes dans la zone.Dans la ville de Beit Lahia, au nord de la bande de Ghaza, deux Palestiniens sont tombés en martyrs et plusieurs autres ont été blessés suite à des bombardements des avions de combat de l’occupant sioniste ayant visé leur maison.A Khan Younes, plusieurs Palestiniens sont tombés en martyrs et d’autres ont été blessés après que les avions de l’entité sioniste ont visé trois maisons à proximité de la Société du Croissant-Rouge dans le quartier d’Al-Amal.Dans la ville de Jabalia, au nord de Ghaza, au moins 35 civils sont tombés en martyrs et des dizaines d’autres ont été blessés lorsque les avions militaires de l’entité sioniste ont pris pour cible plusieurs maisons.Le correspondant de Wafa a souligné que les équipes de la défense civile et des ambulances ont réussi à récupérer 24 martyrs et au moins 90 blessés sous les décombres.Les avions de combat de l’entité sioniste ont également visé une maison dans le camp de Deir al-Balah, dans le centre de la bande de Ghaza, faisant 12 martyrs et plusieurs blessés dont la plupart sont des déplacés.Selon le dernier bilan provisoire du ministère palestinien de la santé, l’agression barbare lancée par l’armée sioniste contre la bande de Ghaza a causé la mort en martyrs de pas moins de 18.800 Palestiniens, dont 70% sont des femmes et des enfants, et blessé plus de 51.000 autres, en plus d’un grand nombre de civils qui sont toujours sous les décombres.

Cinq Palestiniens tombent en martyrs lors d’un raid de l’armée sioniste à Tulkarem

Cinq Palestiniens sont tombés en martyrs dimanche matin dans le camp de réfugiés de Tulkarem, en Cisjordanie occupée, lors d’un raid de l’armée de l’occupation sioniste, a annoncé le ministère palestinien de la Santé. Selon le ministère cité par l’agence de presse palestinienne, Wafa, les forces d’occupation «ont tué cinq Palestiniens au cours des dernières heures lors d’une offensive militaire à grande échelle en cours dans la ville de Tulkarem en Cisjordanie occupée». Il s’agit, selon Wafa, de Jihad Amarneh, 25 ans, Mahmoud Samer Jaber, 22 ans, Ghaith Yasser Shehada, 25 ans, Waleed Asa’ad Zahra, 22 ans, et Asa’ad Asa’ad Zahra, 33 ans. En outre, plusieurs Palestiniens ont été blessés, certaines dans un état critique, en raison des frappes de drones sionistes qui ont ciblé plusieurs endroits du camp.Pour sa part, le Croissant-Rouge palestinien a rapporté que les forces sionistes ont empêché les équipes médicales d’urgence d’entrer dans le camp de Nour Shams pour atteindre une personne grièvement blessée à la tête, malgré la coordination avec le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).Par ailleurs, un secouriste volontaire a été arrêté par les forces d’occupation alors qu’il se trouvait à l’intérieur d’une ambulance, ont ajouté les mêmes sources.

Agression sioniste à Ghaza: les urgences de l’hôpital al-Chifa sont «un bain de sang»

Le service des urgences de l’hôpital al-Chifa dans le Nord de Ghaza, dévasté par les bombardements de l’armée sioniste, est «un bain de sang» et ce qui était le plus grand hôpital du territoire palestinien a maintenant besoin d’»être réanimé», écrit l’OMS dimanche.Une équipe de l’Organisation mondiale de la santé et d’autres agences de l’ONU ont pu livrer du matériel médical samedi à l’hôpital, où «des dizaines de milliers de personnes déplacées» se sont réfugiées dans l’enceinte du complexe hospitalier pour se mettre à l’abri, souligne un communiqué de l’OMS publié dimanche, précisant que l’eau potable et la nourriture «manquent».»L’équipe (qui s’est rendue dans l’hôpital) a décrit le service des urgences comme un +bain de sang+, avec des centaines de patients blessés à l’intérieur et de nouveaux patients arrivant chaque minute», raconte l’organisation, ajoutant que «les patients souffrant de traumatismes étaient suturés à même le sol et que les moyens pour gérer la douleur sont très limités voire inexistants».L’hôpital ne fonctionne plus qu’a minima et avec une équipe très réduite et «les patients critiques sont transférés à l’hôpital Ahli pour des interventions chirurgicales».Les salles opératoires ne fonctionnent plus faute d’oxygène et, selon les mots de l’équipe de l’OMS, l’hôpital «a lui-même besoin d’être réanimé.» Seulement 30 patients peuvent recevoir des dialyses.L’OMS s’est dit prêt à renforcer al-Chifa «dans les semaines à venir» pour «Jusqu’à 20 salles d’opération de l’hôpital, ainsi que des services de soins postopératoires, peuvent être activés s’ils sont régulièrement alimentés en carburant, en oxygène, en médicaments, en nourriture et en eau», indique l’OMS, qui souligne qu’il faut aussi du personnel.A l’heure actuelle, Ahli est le seul hôpital «fonctionnant partiellement» dans tout le Nord de la bande de Ghaza, trois structures hospitalières ne fonctionnant qu’a minima: al-Chifa, al-Awda et al-Sahaba.Avant l’agression génocidaire sioniste, il y en avait 24.L’OMS a également fait part de son inquiétude concernant l’hôpital Kamal Adwan. Le ministère palestinien de la Santé avait affirmé le 13 décembre que l’armée sioniste tirait sur les chambres de patients de l’hôpital assiégé.Selon le dernier bilan du ministère palestinien de la santé, l’agression barbare lancée par l’armée sioniste contre la bande de Ghaza a causé la mort en martyrs de pas moins de 18.800 Palestiniens, dont 70% sont des femmes et des enfants, et blessé plus de 51.000 autres, en plus d’un grand nombre de civils qui sont toujours sous les décombres

Plainte devant la CPI contre l’entité sioniste: «L’enquête avance sur de bonnes bases»

L’enquête de la Cour pénale internationale (CPI) sur les crimes  commis par l’entité sioniste à Ghaza «avance sur de bonnes bases», a indiqué, dimanche, l’avocat français Gilles Devers. Dans une déclaration à l’APS, Me Devers a expliqué que l’équipe chargée par le procureur de la CPI poursuit «activement» son travail et s’est déjà réunie à deux reprises avec les représentants du collectif d’avocats ayant déposé la plainte contre l’entité sioniste le 9 novembre dernier.»Après avoir éliminé toutes les brouilles concernant la compétence de la CPI d’enquêter et l’impossibilité de se rendre sur place pour pouvoir le faire, l’équipe chargée par le procureur travaille désormais sereinement», a ajouté le chef de file des initiateurs de ladite plainte, relevant que «c’est la première fois dans l’histoire de la CPI qu’une plainte est suivie, quelques jours après, par la création d’une équipe d’enquête».»La pratique des anciens procureurs était de ne rien faire et d’attendre le Conseil des droits de l’Homme désigner une mission de 34 personnes (juristes) pour entamer son travail», a-t-il affirmé, soulignant que «l’acceptation du débat sur le génocide et l’ouverture d’une enquête sont déjà des victoires pour le peuple palestinien».  Interrogé, dans le même contexte, sur la lenteur des procédures alors que l’entité sioniste poursuit ses massacres, Me Devers a fait observer que la CPI «a une pratique des enquêtes à long terme, particulièrement en temps de guerre», rappelant que «le dernier mandat d’arrêt émis par la CPI a nécessité un an de travail».»Nous ne voulons pas attendre un an pour voir la CPI agir dans le cas de Ghaza, mais il faut dire que jusqu’ici, il n’y a pas eu assez d’appui pour la plainte déposée (contre l’entité sioniste). Les Etats occidentaux refusent d’appuyer cette plainte, alors que les dirigeants du monde arabo-musulman se contentent du strict minimum jusque-là», a déploré l’avocat au barreau de Lyon. Il a précisé toutefois, à ce sujet, que cette plainte «finira par aboutir tôt ou tard» et que les dirigeants sionistes seront devant la CPI «un jour ou l’autre, car tous les indices et toutes les preuves confirment le crime de génocide contre le peuple de Ghaza».  «Nous avons pu récupérer les mandats d’arrêt qui ont été émis par la CPI (concernant de précédents crimes). Ces mandats sont des précédents pour nous. Les conditions dans le cas de Ghaza sont largement réunies et il y a des éléments de gravité exceptionnelle», a, en outre, assuré l’avocat des justes causes. A ce propos, il a affirmé que le collectif à l’origine de la plainte contre l’entité sioniste «est en train de s’employer à fond et avec acharnement pour collecter le maximum de preuves et de témoignages concernant les crimes génocidaires contre les civils palestiniens», appelant «tous les juristes et citoyens à se mobiliser de leur côté pour transmettre davantage de preuves à la CPI».Il a salué, à ce sujet, la dernière conférence internationale organisée par l’Algérie et qui a rassemblé des délégations de juristes de plusieurs pays, affirmant que «de telles initiatives sont louables en ce sens qu’elles participent à la mobilisation des grandes masses et à l’implication de ces dernières».«Ce qui se passe à Ghaza est un déni du peuple. Ce déni trouve racine profonde dans le refus du droit du peuple palestinien à l’autodétermination. C’est très significatif de commencer cette campagne depuis Alger qui a su donner ses lettres d’or à l’autodétermination des peuples», a-t-il concluPalestine

Des martyrs et des blessés dans des bombardements sionistes contre des camps de réfugiés de la bande de Ghaza

De nombreux palestiniens sont tombés en martyrs et d’autres ont été blessés après des bombardements aériens et des pilonnages d’artillerie et de la marine sionistes samedi contre des maisons de familles palestiniennes dans plusieurs camps de réfugiés de la bande de Ghaza, indique l’agence palestinienne Wafa.Ces bombardements ont notamment visé des maisons et des hôpitaux les camps de réfugiés de Nuseirat, Shujaiya, Ghaza, Khan Younes et Rafah, ont indiqué des sources locales citées par Wafa. Selon Wafa, les avions de combat de l’occupation ont bombardé une place résidentielle à proximité de la mosquée Al-Dawa dans le camp de Nuseirat, dans le centre de la bande de Ghaza, ce qui a entraîné le martyr de dizaines de citoyens, dont beaucoup restent sous les décombres sans que les équipes de la protection civile et des ambulanciers puissent les atteindre. Les avions de combat de l’occupation sioniste ont également bombardé, avec des tirs d’artillerie, les quartiers d’Al-Shuja’iya et d’Al-Zaytoun, à l’est de Ghaza.Le ministère de la Santé palestinien a expliqué de son côté que les forces d’occupation sionistes ont piétiné les tentes des déplacés avec des bulldozers militaires dans la cour de l’hôpital Kamal Adwan, dans le nord de la bande de Ghaza, et ont enterré vivants des dizaines de patients et de déplacés. Le même ministère a souligné que 12 enfants se trouvent toujours dans les couveuses de l’hôpital, sans eau ni nourriture, après que l’armée de l’entité sioniste a empêché leur évacuation, selon des équipes médicales, rapporte encore Wafa.Dans le sud, cinq palestiniens sont tombés en martyrs et des dizaines ont été blessés lors de bombardements aériens de l’occupation sioniste sur une maison de la ville de Khan Younes, alors que des navires de guerre de l’occupation ont tiré des obus et des tirs de mitrailleuses lourdes vers Khan Younes et Rafah, indique encore Wafa.Par ailleurs, la coupure de toutes les communications et services Internet dans la bande de Ghaza s’est poursuivie samedi pour la troisième journée consécutive, ce qui en fait la période la plus longue depuis le début de l’agression sioniste contre l’enclave palestinienne.Le nombre de martyrs s’est élevé à plus de 199.80 palestiniens, les blessés à plus de 51 000 depuis le début de l’agression de l’occupation sioniste contre la bande de Ghaza et la Cisjordanie occupée, dont 70 % sont des femmes et des enfants, rappelle t-on.

Des dizaines de Palestiniens tombent en martyrs dans des bombardements sionistes à Ghaza

Des dizaines de palestiniens sont tombés en martyrs et des centaines d’autres ont été blessés lors d’une série de frappes terrestres, maritimes et aériennes de l’entité sioniste sur la bande de Ghaza, a rapporté dimanche l’agence de presse palestinienne Wafa.Au 72ème jour de l’agression génocidaire sioniste sur la bande de Ghaza, au moins 20 civils sont tombés en martyrs lors d’une frappe aérienne de l’armée sioniste qui a ciblé plusieurs maisons à proximité de l’hôpital Ahly Arabi «El-Mamadani» et de la grande mosquée Al-Omari dans la vieille ville de Ghaza, selon un correspondant de Wafa.Par ailleurs, neuf Palestiniens sont tombés en martyrs dans un bombardement d’artillerie et des tirs de drones de l’entité sioniste dans le quartier d’Al-Zaytoun, au sud-est de la ville de Ghaza, tandis que six autres martyrs ont été dénombrés lors d’un bombardement des avions de guerre de l’occupation ayant ciblé une maison dans le quartier de Shoudjaia, à l’est de l’enclave palestinienne, précise la même source.Dans les quartiers de Nassr et de Sheikh Radwan, les chars et les véhicules blindés de transport de troupes sionistes poursuivent leur agression avec des tirs de drones, de missiles et d’artillerie, faisant des dizaines de morts et de blessés.Certains habitants ont réussi à enterrer plusieurs martyrs, dont au moins 20 sont issus d’une même famille, dans les cours de leurs maisons ou aux alentours, après que des avions de combat sionistes ont visé leur maison de quatre étages, souligne le correspondant de Wafa.Dans le quartier de Tal Al-Hawa, des avions de l’occupant sioniste ont bombardé deux maisons près du parc de Barcelone, blessant plusieurs civils, tandis que les ambulances n’ont pas pu leur porter secours en raison de la présence des soldats sionistes dans la zone.Dans la ville de Beit Lahia, au nord de la bande de Ghaza, deux Palestiniens sont tombés en martyrs et plusieurs autres ont été blessés suite à des bombardements des avions de combat de l’occupant sioniste ayant visé leur maison.A Khan Younes, plusieurs Palestiniens sont tombés en martyrs et d’autres ont été blessés après que les avions de l’entité sioniste ont visé trois maisons à proximité de la Société du Croissant-Rouge dans le quartier d’Al-Amal.Dans la ville de Jabalia, au nord de Ghaza, au moins 35 civils sont tombés en martyrs et des dizaines d’autres ont été blessés lorsque les avions militaires de l’entité sioniste ont pris pour cible plusieurs maisons.Le correspondant de Wafa a souligné que les équipes de la défense civile et des ambulances ont réussi à récupérer 24 martyrs et au moins 90 blessés sous les décombres.Les avions de combat de l’entité sioniste ont également visé une maison dans le camp de Deir al-Balah, dans le centre de la bande de Ghaza, faisant 12 martyrs et plusieurs blessés dont la plupart sont des déplacés.Selon le dernier bilan provisoire du ministère palestinien de la santé, l’agression barbare lancée par l’armée sioniste contre la bande de Ghaza a causé la mort en martyrs de pas moins de 18.800 Palestiniens, dont 70% sont des femmes et des enfants, et blessé plus de 51.000 autres, en plus d’un grand nombre de civils qui sont toujours sous les décombres.

Cinq Palestiniens tombent en martyrs lors d’un raid de l’armée sioniste à Tulkarem

Cinq Palestiniens sont tombés en martyrs dimanche matin dans le camp de réfugiés de Tulkarem, en Cisjordanie occupée, lors d’un raid de l’armée de l’occupation sioniste, a annoncé le ministère palestinien de la Santé.         Selon le ministère cité par l’agence de presse palestinienne, Wafa, les forces d’occupation «ont tué cinq Palestiniens au cours des dernières heures lors d’une offensive militaire à grande échelle en cours dans la ville de Tulkarem en Cisjordanie occupée». Il s’agit, selon Wafa, de Jihad Amarneh, 25 ans, Mahmoud Samer Jaber, 22 ans, Ghaith Yasser Shehada, 25 ans, Waleed Asa’ad Zahra, 22 ans, et Asa’ad Asa’ad Zahra, 33 ans. En outre, plusieurs Palestiniens ont été blessés, certaines dans un état critique, en raison des frappes de drones sionistes qui ont ciblé plusieurs endroits du camp.Pour sa part, le Croissant-Rouge palestinien a rapporté que les forces sionistes ont empêché les équipes médicales d’urgence d’entrer dans le camp de Nour Shams pour atteindre une personne grièvement blessée à la tête, malgré la coordination avec le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).Par ailleurs, un secouriste volontaire a été arrêté par les forces d’occupation alors qu’il se trouvait à l’intérieur d’une ambulance, ont ajouté les mêmes sources.

Agression sioniste à Ghaza: les urgences de l’hôpital al-Chifa sont «un bain de sang»

Le service des urgences de l’hôpital al-Chifa dans le Nord de Ghaza, dévasté par les bombardements de l’armée sioniste, est «un bain de sang» et ce qui était le plus grand hôpital du territoire palestinien a maintenant besoin d’»être réanimé», écrit l’OMS dimanche.Une équipe de l’Organisation mondiale de la santé et d’autres agences de l’ONU ont pu livrer du matériel médical samedi à l’hôpital, où «des dizaines de milliers de personnes déplacées» se sont réfugiées dans l’enceinte du complexe hospitalier pour se mettre à l’abri, souligne un communiqué de l’OMS publié dimanche, précisant que l’eau potable et la nourriture «manquent».»L’équipe (qui s’est rendue dans l’hôpital) a décrit le service des urgences comme un +bain de sang+, avec des centaines de patients blessés à l’intérieur et de nouveaux patients arrivant chaque minute», raconte l’organisation, ajoutant que «les patients souffrant de traumatismes étaient suturés à même le sol et que les moyens pour gérer la douleur sont très limités voire inexistants».L’hôpital ne fonctionne plus qu’a minima et avec une équipe très réduite et «les patients critiques sont transférés à l’hôpital Ahli pour des interventions chirurgicales».Les salles opératoires ne fonctionnent plus faute d’oxygène et, selon les mots de l’équipe de l’OMS, l’hôpital «a lui-même besoin d’être réanimé.» Seulement 30 patients peuvent recevoir des dialyses.L’OMS s’est dit prêt à renforcer al-Chifa «dans les semaines à venir» pour «Jusqu’à 20 salles d’opération de l’hôpital, ainsi que des services de soins postopératoires, peuvent être activés s’ils sont régulièrement alimentés en carburant, en oxygène, en médicaments, en nourriture et en eau», indique l’OMS, qui souligne qu’il faut aussi du personnel.A l’heure actuelle, Ahli est le seul hôpital «fonctionnant partiellement» dans tout le Nord de la bande de Ghaza, trois structures hospitalières ne fonctionnant qu’a minima: al-Chifa, al-Awda et al-Sahaba.Avant l’agression génocidaire sioniste, il y en avait 24.L’OMS a également fait part de son inquiétude concernant l’hôpital Kamal Adwan. Le ministère palestinien de la Santé avait affirmé le 13 décembre que l’armée sioniste tirait sur les chambres de patients de l’hôpital assiégé.Selon le dernier bilan du ministère palestinien de la santé, l’agression barbare lancée par l’armée sioniste contre la bande de Ghaza a causé la mort en martyrs de pas moins de 18.800 Palestiniens, dont 70% sont des femmes et des enfants, et blessé plus de 51.000 autres, en plus d’un grand nombre de civils qui sont toujours sous les décombres

Plainte devant la CPI contre l’entité sioniste: «L’enquête avance sur de bonnes bases»

L’enquête de la Cour pénale internationale (CPI) sur les crimes  commis par l’entité sioniste à Ghaza «avance sur de bonnes bases», a indiqué, dimanche, l’avocat français Gilles Devers. Dans une déclaration à l’APS, Me Devers a expliqué que l’équipe chargée par le procureur de la CPI poursuit «activement» son travail et s’est déjà réunie à deux reprises avec les représentants du collectif d’avocats ayant déposé la plainte contre l’entité sioniste le 9 novembre dernier.»Après avoir éliminé toutes les brouilles concernant la compétence de la CPI d’enquêter et l’impossibilité de se rendre sur place pour pouvoir le faire, l’équipe chargée par le procureur travaille désormais sereinement», a ajouté le chef de file des initiateurs de ladite plainte, relevant que «c’est la première fois dans l’histoire de la CPI qu’une plainte est suivie, quelques jours après, par la création d’une équipe d’enquête».»La pratique des anciens procureurs était de ne rien faire et d’attendre le Conseil des droits de l’Homme désigner une mission de 34 personnes (juristes) pour entamer son travail», a-t-il affirmé, soulignant que «l’acceptation du débat sur le génocide et l’ouverture d’une enquête sont déjà des victoires pour le peuple palestinien».  Interrogé, dans le même contexte, sur la lenteur des procédures alors que l’entité sioniste poursuit ses massacres, Me Devers a fait observer que la CPI «a une pratique des enquêtes à long terme, particulièrement en temps de guerre», rappelant que «le dernier mandat d’arrêt émis par la CPI a nécessité un an de travail».»Nous ne voulons pas attendre un an pour voir la CPI agir dans le cas de Ghaza, mais il faut dire que jusqu’ici, il n’y a pas eu assez d’appui pour la plainte déposée (contre l’entité sioniste). Les Etats occidentaux refusent d’appuyer cette plainte, alors que les dirigeants du monde arabo-musulman se contentent du strict minimum jusque-là», a déploré l’avocat au barreau de Lyon. Il a précisé toutefois, à ce sujet, que cette plainte «finira par aboutir tôt ou tard» et que les dirigeants sionistes seront devant la CPI «un jour ou l’autre, car tous les indices et toutes les preuves confirment le crime de génocide contre le peuple de Ghaza».  «Nous avons pu récupérer les mandats d’arrêt qui ont été émis par la CPI (concernant de précédents crimes). Ces mandats sont des précédents pour nous. Les conditions dans le cas de Ghaza sont largement réunies et il y a des éléments de gravité exceptionnelle», a, en outre, assuré l’avocat des justes causes. A ce propos, il a affirmé que le collectif à l’origine de la plainte contre l’entité sioniste «est en train de s’employer à fond et avec acharnement pour collecter le maximum de preuves et de témoignages concernant les crimes génocidaires contre les civils palestiniens», appelant «tous les juristes et citoyens à se mobiliser de leur côté pour transmettre davantage de preuves à la CPI».Il a salué, à ce sujet, la dernière conférence internationale organisée par l’Algérie et qui a rassemblé des délégations de juristes de plusieurs pays, affirmant que «de telles initiatives sont louables en ce sens qu’elles participent à la mobilisation des grandes masses et à l’implication de ces dernières».«Ce qui se passe à Ghaza est un déni du peuple. Ce déni trouve racine profonde dans le refus du droit du peuple palestinien à l’autodétermination. C’est très significatif de commencer cette campagne depuis Alger qui a su donner ses lettres d’or à l’autodétermination des peuples», a-t-il conclu