Ghaza : la propagande sioniste ridiculisée et démentie sur les médias et réseaux sociaux

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La propagande sioniste pour « justifier » ses crimes commis contre le peuple palestinien, notamment dans la bande de Ghaza, est ridiculisée par les utilisateurs des réseaux sociaux et démentie par les médias internationaux. Acculée par l’opinion publique internationale et incapable de réaliser la moindre avancée significative sur le terrain (mis à part l’assassinat abject des civiles et la destruction systématique et criminelle de l’infrastructure de la ville de Ghaza), l’entité génocidaire, en panique, tente de manipuler les médias par de fausses informations afin de motiver sa cruauté.

Ainsi, pour tenter de justifier ses attaques contre des hôpitaux, ce qui constitue une violation flagrante de la Convention de Genève 1949 et dont l’entité sioniste est signataire, l’armée génocidaire a produit et diffusé mardi, une vidéo de propagande de deux minutes, prétendant que la résistance palestinienne utilise les établissements de santé comme cache d’armes et d’otages.  La mise en scène d’un amateurisme risible, montre un soldat de l’armée criminelle dans ce qui est censée être une cache sous l’hôpital pour enfants d’Al-Rantissi, exhibant ce qu’il qualifie de « matériel de guerre », un biberon et un bout de corde près d’une chaise, pour conclure que l’endroit « a probablement servi à retenir des otages (sionistes) ».  Le « comédien » en treillis militaire s’attarde également sur un document placardé sur un mur en prétendant qu’il comportait des noms servant à ceux « qui gardaient le bâtiment ». Cette mise en scène rocambolesque, dépourvue de toute preuve vérifiable et loin de convaincre, a provoqué la risée des utilisateurs de réseaux sociaux.

Ainsi, sur la plateforme TikTok, un jeune a zoomé sur le document écrit en arabe, « censé être une feuille de route de la résistance », et utilisé les outils de l’intelligence artificielle pour traduire le contenu. L’internaute déclare : « Ils (les sionistes) nous prennent pour des imbéciles. Le document est un planning de permanence. Les mots que le soldat (de l’armée d’occupation) indique sont les jours de la semaine en arabe ». Sur la même séquence, une youtubeuse américaine publie une vidéo humoristique dans laquelle elle affirme avoir commencé des cours d’arabe depuis peu : « J’ai commencé l’apprentissage de la langue arabe depuis peu, mais je peux lire ce qui est écrit (sur le document) : samedi, dimanche, lundi… Ce sont les jours de la semaine en arabe et je doute que les Arabes aient tendance à nommer leurs enfants selon les jours de la semaine », ricane-t-elle. Aussitôt la vidéo publiée, les responsables de la résistance et ceux de l’hôpital ont démenti les allégations de l’entité sioniste et lancé des appels aux observateurs internationaux et ONG pour vérifier sur place l’absurdité de cette propagande. Cet épisode de la vidéo démontre encore une fois que l’entité sioniste perd la bataille de l’information et ne peut aucunement justifier ses crimes abjectes commis contre la population de Ghaza. Dans l’édition de mardi, le New York Times a publié une enquête qui révèle encore une fois que l’armée sioniste a menti en attribuant aux résistants palestiniens la responsabilité des tirs qui ont ciblé le complexe de santé Al Maamadani de Ghaza. Le journal américain atteste que l’analyse des images et des vidéos démontre que ces projectiles provenaient des forces d’occupation. Après le dévoilement des gros mensonges et tentatives scabreuses de manipulation de l’opinion publique, notamment celles relatives à « l’égorgement de 40 bébés et les viols commis sur des femmes » par la résistance palestinienne pour tenter de justifier le génocide commis sur la population de Ghaza, les informations émanant de l’entité sioniste ont perdu toute crédibilité. D’ailleurs, d’après des utilisateurs US des réseaux sociaux, un nouveau mot est venu enrichir le vocabulaire américain. Il s’agit du verbe « israeled » (israéler) qui signifie, selon les internautes, « prendre quelque chose qui ne vous appartient pas et prétendre que cela vous appartient tout en jouant la victime ».