Le président de la République, qui a insufflé une nouvelle dynamique de développement, ne cesse d’insister sur la satisfaction des besoins des citoyens et au désenclavement des régions les plus éloignées du pays et l’amélioration des conditions de vie de leur population, des dossiers qui jouissent d’une priorité majeure au plus haut sommet de l’Etat.
C’est la raison pour laquelle, le ministre de l’Intérieur, Brahim Merad, a souligné récemment la nécessité pour les autorités locales d’œuvrer à répondre aux préoccupations des citoyens et à l’amélioration de leur cadre de vie. Il a fait part d’instructions signifiées aux walis, les exhortant à coordonner les efforts avec les organes exécutifs afin de répondre aux besoins des citoyens. M. Merad a souligné que le citoyen est au centre des préoccupations du président de la République qui rappelle à chaque occasion la nécessité d’œuvrer à l’amélioration de ses conditions de vie. Le président de la République a maintes fois rappelé les mesures et les dispositions inédites mises en place pour préserver le caractère social de l’Etat, en tête desquelles l’institution de l’allocation chômage et l’augmentation des salaires. Il a affirmé, à ce titre, que l’Etat continue à veiller sur la protection du pouvoir d’achat du citoyen à travers la lutte contre les spéculateurs et les provocateurs de pénuries qui saisissent les occasions pour attenter à la stabilité sociale. Le chef de l’Etat avait donné des instructions fermes au gouvernement en vue d’accorder un intérêt accru à la situation sociale du citoyen et veiller à l’amélioration de son pouvoir d’achat, tout en insistant sur le rôle du gouvernement dans la garantie de la disponibilité et de la stabilité des prix des produits alimentaires. En préconisant une vision réaliste et rationnelle qui préserve l’équilibre macro-financier de l’Etat, le président de la République aura prouvé, une fois de plus, tout l’intérêt qu’il accorde à la préservation du pouvoir d’achat des citoyens, notamment les couches sociales les plus défavorisées. Il s’agit d’une vision prévoyant un allègement des charges inhérentes aux mesures prises par le gouvernement avec pour objectif de préserver le pouvoir d’achat et les acquis sociaux décidés par l’Etat en faveur des citoyens. Les dernières mesures prises en faveur de l’amélioration des conditions de vie des citoyens attestent que l’Etat est déterminé à faire de ce volet l’une de ses priorités, comme l’a si bien souligné le président de la République qui a été catégorique en ordonnant au gouvernement d’œuvrer constamment à l’amélioration des moyens de communication avec le citoyen dans tous les domaines et de placer ce point dans les priorités de l’action gouvernementale. Cette nouvelle approche de communication devrait permettre de prendre les décisions idoines et résoudre les problèmes et préoccupations du citoyen. Il s’agit d’une nouvelle orientation consistant à être constamment à l’écoute des citoyens et à se pencher, de manière sérieuse et effective, sur leurs doléances, un volet auquel le Président Tebboune a toujours accordé un intérêt particulier et en a fait une priorité absolue depuis son investiture à la tête de l’Etat. Ces engagements, qui sont prévus dans le programme du président Tebboune, vont constituer la pierre angulaire de l’action du gouvernement qui sera appelé à procéder au renforcement de la bonne gouvernance à travers la séparation du monde des affaires de la politique et une mise en place de mécanismes garantissant la probité des fonctionnaires publics, une réforme globale de la justice, de l’organisation territoriale et de la gestion de l’administration locale, ainsi que la consolidation du principe de la démocratie participative.
Le chef de l’Etat, faut-il le rappeler, avait maintes fois souligné qu’en dépit de la nouvelle conjoncture dictée par les répercussions néfastes sur l’économie du pays, l’Etat ne compte pas lésiner sur les moyens et les ressources afin de faire redémarrer la machine de production, tout en veillant à la préservation du caractère social de l’Etat.
Au volet économique, M. Tebboune avait promis de mettre en œuvre une nouvelle politique de développement hors hydrocarbures, la substitution des produits importés par d’autres locaux en vue de préserver les réserves de change, la promotion des start-up et le renforcement du rôle économique des collectivités locales dans le développement et la diversification de l’économie nationale. Il avait aussi mis l’accent sur l’amélioration du climat des affaires et l’encouragement de l’investissement, notamment extérieur direct, pour booster la croissance économique nationale. Le chef de l’Etat, faut-il le rappeler, avait maintes fois souligné qu’en dépit de la nouvelle conjoncture dictée par les répercussions néfastes sur l’économie du pays, l’Etat ne compte pas lésiner sur les moyens et les ressources afin de faire redémarrer la machine de production, tout en veillant à la préservation du caractère social de l’Etat. A ce propos, le président de la République a souligné l’impératif de généraliser la numérisation à tous les secteurs gouvernementaux, de manière unifiée et a ordonné de passer à la seconde phase de ce processus dont l’importance n’est désormais plus à démontrer. Il s’agit de l’impératif pour le gouvernement d’accélérer la mise en œuvre des décisions du Conseil des ministres, en particulier celles à caractère social, fait partie désormais de l’obligation de résultat assigné au staff conduit par Nadir Larbaoui qui n’avait pas manqué de souligner la nécessité d’intensifier les efforts en vue d’accélérer la concrétisation des engagements du président de la République en mettant l’accent sur l’importance fondamentale de la coordination entre les différents secteurs et du traitement des dossiers selon les priorités fixées à cet égard. Lors du dernier Conseil des ministres, le président de la République avait ordonné au gouvernement d’accélérer la mise en œuvre des décisions du Conseil des ministres, qui n’ont pas été concrétisées ou accusant un retard dans leur mise en œuvre. Il avait donné les orientations, instructions et directives à travers lesquelles il a affirmé l’impératif pour le gouvernement d’accélérer la mise en œuvre des décisions du Conseil des ministres, qui n’ont pas été concrétisées ou accusant un retard dans leur mise en œuvre, précisant que la non application des engagements de l’Etat ont un grand impact sur nos concitoyens.
Le président de la République a maintes fois rappelé les mesures et les dispositions inédites mises en place pour préserver le caractère social de l’Etat, en tête desquelles l’institution de l’allocation chômage et l’augmentation des salaires.
Il avait, en outre, incité les membres du gouvernement à éviter de donner des promesses exagérées et loin des engagements envers le peuple algérien et à maintenir le soutien aux classes vulnérables et moyennes au centre des préoccupations du gouvernement à travers la préservation du pouvoir d’achat et en plaçant les programmes de logement, toutes formules confondues, parmi les priorités afin de préserver la dignité des citoyens et de faciliter leur vie. Il a également enjoint de faire montre de vigilance en ce qui concerne la dilapidation des deniers publics et la consommation des budgets supplémentaires non inscrites aux programmes définis, au moment où des parties de ces programmes sont en attente d’exécution. Le président de la République a, par ailleurs, relevé la nécessité d’intensifier la consultation entre les membres du gouvernement sur les décisions ayant un impact sur les équilibres macro-financiers de l’Etat. Et de souligner l’importance de consacrer davantage la valeur du travail avec la préservation des métiers et de l’artisanat, créateurs de richesse et d’emplois et d’augmenter la cadence de réalisation des programmes et d’engagements restants, notamment dans les secteurs de l’Education nationale et de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Microentreprises. Le président de la République a maintes fois rappelé les mesures et les dispositions inédites mises en place pour préserver le caractère social de l’Etat, en tête desquelles l’institution de l’allocation chômage et l’augmentation des salaires. Il a affirmé, à ce titre, que l’Etat continue à veiller sur la protection du pouvoir d’achat du citoyen à travers la lutte contre les spéculateurs et les provocateurs de pénuries qui saisissent les occasions pour attenter à la stabilité sociale. Le chef de l’Etat avait donné des instructions fermes au gouvernement en vue d’accorder un intérêt accru à la situation sociale du citoyen et veiller à l’amélioration de son pouvoir d’achat, tout en insistant sur le rôle du gouvernement dans la garantie de la disponibilité et de la stabilité des prix des produits alimentaires. En préconisant une vision réaliste et rationnelle qui préserve l’équilibre macro-financier de l’Etat, le président de la République aura prouvé, une fois de plus, tout l’intérêt qu‘il accorde à la préservation du pouvoir d’achat des citoyens, notamment les couches sociales les plus défavorisées.
T. Benslimane