Cancer du cerveau: Il lui restait neuf mois à vivre mais un événement lui change la vie

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Diagnostiqué d’un glioblastome en 2022, un homme de 41 ans a survécu grâce à un traitement révolutionnaire. Un rétablissement qui a stupéfait les médecins en charge de son cas. C’est le genre de mauvaise nouvelle qui vous glace le sang.

Atteint d’un cancer du cerveau, un homme âgé de 41 ans et prénommé Ben Trotman a appris par ses médecins qu’il ne lui restait que neuf mois à vivre. Mais pas question pour lui d’attendre l’heure fatidique sans rien faire. Après son diagnostic de glioblastome en octobre 2022, il s’est donc inscrit à un premier essai de traitement au monde. Et à la grande stupéfaction des médecins, sa tumeur cérébrale mortelle a disparu comme par enchantement. Selon eux, son rétablissement était “sans précédent”. Pour rappel, depuis le début des années 2000, le traitement du glioblastome est le même. Les patients subissent une intervention chirurgicale avant de passer par la case chimiothérapie et radiothérapie. Malheureusement, dans la majorité des cas, la maladie réapparaît avant de tuer les patients. Comme l’a expliqué Ben Trotman, dont les propos ont été relayés par le Daily mail, l’essai auquel il a pris part consistait à suivre une immunothérapie avant de suivre le traitement habituel. Pour rappel, l’immunothérapie consiste à utiliser les défenses naturelles du patient, à mobiliser son système immunitaire afin qu’il reconnaisse les cellules cancéreuses et les détruise. Selon le Dr Paul Mulholland, spécialiste du cancer du cerveau et responsable du nouvel essai, les résultats ont été tellement concluants qu’un remède contre le glioblastome pourrait bien voir le jour à l’horizon. « Je crois que nous avons les outils pour y remédier. Nous devons intervenir tôt pour donner aux patients les meilleures chances de survie à long terme”, a-t-il déclaré tout en rappelant que ce procédé pourrait bien être utile à d’autres malades. « C’est important non seulement pour les patients atteints d’un cancer du cerveau, mais aussi pour tous les autres cancers persistants à faible survie, comme le cancer du pancréas ».

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