Représentant le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, le ministre d’État, ministre de l’Énergie, des Mines et des Énergies renouvelables, Mohamed Arkab, participe aux travaux du 17ᵉ Sommet des affaires États-Unis-Afrique, qui se tient du 23 au 27 juin 2025 dans la capitale angolaise.
Placé sous le thème « Les voies de la prospérité : une vision commune du partenariat entre les États-Unis et l’Afrique », cet événement majeur réunit plus de 1.500 participants, parmi lesquels des chefs d’État et de gouvernement, de hauts responsables, des investisseurs, ainsi que des représentants de grandes entreprises américaines et africaines. Objectif : renforcer les opportunités de coopération et les partenariats public-privé dans des secteurs clés tels que l’énergie, les infrastructures, les technologies, l’agriculture, les industries manufacturières et l’intégration économique africaine. À la tête d’une délégation composée notamment de la secrétaire d’État chargée des Affaires africaines, Selma Bakhta Mansouri, et de cadres des ministères des Affaires étrangères et de l’Énergie, M. Arkab prendra part à la session plénière de haut niveau dédiée au thème « Le renforcement des partenariats énergétiques entre les États-Unis et l’Afrique : du dialogue à la mise en œuvre ». Il y présentera la vision algérienne en matière d’énergies durables, en insistant sur l’engagement du pays dans la transition énergétique, la sécurité énergétique et le développement de l’hydrogène vert comme énergie d’avenir. En marge du sommet, le ministre tiendra de nombreuses rencontres bilatérales avec des homologues, des chefs de délégations et des représentants de grandes entreprises et d’organisations internationales, notamment actives dans les domaines de l’énergie, des mines et des énergies renouvelables. Ces échanges porteront sur les perspectives de coopération, d’investissement et de transfert de savoir-faire. Selon le ministère, cette participation s’inscrit dans la dynamique de l’Algérie pour renforcer ses partenariats stratégiques avec les États-Unis et les pays africains, et affirme son engagement dans la construction d’une économie continentale intégrée, durable et inclusive. Cette vision rejoint les objectifs de l’Agenda 2063 de l’Union africaine et reflète la politique nationale d’intégration régionale fondée sur des partenariats internationaux gagnant-gagnant.
Amel Driss
