Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a reçu, hier, à Alger, l’ambassadrice des Etats-Unis d’Amérique, Joan A. Polaschik, avec laquelle il a évoqué les moyens de développer et de dynamiser davantage les échanges entre les deux pays dans le domaine de la communication et de l’information. «Tout en saluant les acquis de la liberté d’expression et de la presse, ainsi que les avancées extraordinaires que le secteur de la communication a connues en Algérie, les deux parties se sont accordées à reconnaître la nécessité de poursuivre l’effort d’investissement dans la ressource humaine qui demeure le capital primordial». C’est dans cet ordre d’idées qu’il a été convenu d’«intensifier les échanges et la coopération entre les deux pays en matière de formation et de donner de la fluidité aux nombreuses initiatives qui sont prises en la matière en faveur du secteur». Polaschik, qui rendait une visite de courtoisie et d’adieu au ministre de la Communication, a renouvelé «son attachement et son amitié pour l’Algérie qu’elle entend œuvrer à faire mieux connaître aux USA», car, a-t-elle, dit, «l’Algérie et les Algériens ont une très belle histoire à raconter au monde».
… et Isabelle Roy, ambassadrice du Canada
Dans le même contexte, le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a également reçu, l’ambassadrice du Canada, Isabelle Roy, dans le cadre d’une visite de courtoisie et d’adieu durant laquelle les deux parties ont examiné la coopération dans le domaine de la communication. L’entretien qui a permis de «mettre en perspective des relations algérocanadiennes prometteuses, du fait d’une élite algérienne de plus en plus importante au Canada, a été l’occasion de passer en revue les nombreuses affinités qui existent entre les deux pays et qui donnent leur chance à des relations autrement plus intenses et plus fructueuses dans tous les domaines, et plus particulièrement dans le domaine de la communication et de l’information, la passerelle, par excellence», précise la même source. Les deux parties «ont convenu, d’un commun accord, de la pertinence d’une coopération axée essentiellement sur la formation dans le domaine de la presse et des médias, et ce du fait des bouleversements professionnels et technologiques que connaît le secteur de la communication».