Une cinquantaine d’œuvres littéraires écrites en français, arabe et en tamazight sont en lice pour le Prix littéraire Mohamed Dib 2017-2018, annonce l’association culturelle «La grande maison» sur son site Internet. 18 romans en arabe, 32 en français et dix en tamazight, édités entre janvier 2016 et février 2018, ont été soumis par une trentaine de maisons d’édition.
Entre autres romans proposés en langue arabe La pluie écrit ses mémoires de Merzak Bektache, lauréat du Grand Prix Assia Djebbar du roman 2017, Le miel amer de Djilali Ililia, Moula El Hayra de Smaïl Yabrir, Le gardien du parc de Nedjmeddine Sidi Othmane, La danse de la lune de Abdelkader Bouderba en plus du recueil de nouvelles Et d’autres choses ennuyeuses de Amina Cheikh, entre autres. Dix publications en langue amazighe ont également été retenues par les organisateurs du prix à l’image de Adrar Ay Uccen (La montagne du loup) de Hacen Halloune, Asebbagh (Le peintre) de Hocine Louni, Tamacahut Taneggarut (Le dernier conte) de Lynda Koudache, lauréate du Grand Prix Assia Djebar du roman 2016. Le comité de la 5e édition du prix a reçu 32 œuvres littéraires écrites en langue française dont 1994 de Adlène Meddi, Hiziya princesse d’amour des Ziban de Lezhari Labter, Cubaniya de Jaoudet Gassouma, Le fils à maman ou la voix du sang de Nadjib Stambouli, L’enfant de l’œuf de Amin Zaoui, Les galants de nuit de Dalila Azzi, L’année miraculeuse de Mohamed Magani, ou encore Le roman des Pov’Cheveux de Lynda Chouiten. Décerné par l’association «La grande maison», et créé en 2001, le Prix littéraire Mohamed Dib vise à promouvoir la littérature algérienne. Le Prix littéraire Mohamed Dib a été attribué pour la première fois en 2003.