Paroles des chefs de partis au 17e jour de la campagne: Le citoyen doit être un véritable partenaire dans la gestion de la commune

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les déclarations marquantes de leaders des partis politiques en lice pour les locales du 27 novembre,au 17e jour de la campagne électorale.

Le président du parti Sawt Echaâb, Lamine Osmani, depuis Khenchela : «Opérer une ruptur c le mode de gestion classique des collectivités locales pour se diriger vers une gestion économique et faire des communes des entités productrices et génératrices de richesses». Pour sa part, le président du parti El Wassit Siyassi, Ahmed Laroussi Rouibata, de Aïn Témouchent «éveiller la conscience de ceux qui boycottent le processus électoral afin de les convaincre à participer à ces échéances et assumer leurs responsabilités». Le président du parti El Fadjr El Djadid, Tahar Benbaibèche, depuis Skikda : «L’Algérie nouvelle ne peut pas être édifiée avec les anciennes pratiques». Le président du Front El-Moustakbal, Abdelaziz Belaïd, à partir de Mostaganem : «Le citoyen doit être un véritable partenaire dans la gestion de la commune et non pas seulement un électeur». Le secrétaire général du parti du Front de libération national (FLN), Abou El Fadl Baâdji, depuis Adrar : «L’Algérie poursuit le parachèvement de l’édification de ses institutions politiques axées sur la consécration de la volonté du peuple dans le choix des gérants de ses affaires publiques au niveau local.»

Le premier secrétaire national du Front des forces socialistes (FFS), Youcef Aouchiche, en campagne à Constantine : «On ne peut séparer le nationalisme et la démocratie (…) Il faut se dresser contre quiconque veut porter atteinte à l’unité nationale ou tente de briser la cohésion sociale».