Palestine: Les forces d’occupation sionistes lancent une campagne d’arrestations à grande échelle en Cisjordanie

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Les forces d’occupation sionistes ont lancé vendredi, une campagne massive d’arrestation visant des dizaines de Palestiniens en Cisjordanie occupée, a rapporté l’agence de presse palestinienne Wafa.

L’armée sioniste a procédé à l’arrestation de six Palestiniens du camp de Jalazoun, au nord de Ramallah, après avoir perquisitionné et fouillé leurs maisons, précise Wafa, qui fait également état de l’arrestation de Cinq autres Palestiniens de la localité de Jaba, au sud de Jénine où des affrontements violents ont éclaté, pendant lesquels les soldats de l’occupation ont tiré de nombreuses balles et bombes assourdissantes. A Naplouse, les forces de l’occupation ont arrêté quatre Palestiniens lors d’un assaut lancé contre l’ancien camp d’Askar, à l’est de la ville, tandis que des soldats sionistes ont posé plusieurs explosifs dans les maisons de deux prisonniers Palestiniens après avoir forcé ses occupants à vider les lieux, dans la localité de Khalat Manaa, au Sud de la ville d’El Khalil, ajoute la même source. Par ailleurs, un Palestinien a été blessé par balles réelles lors d’un assaut des forces d’occupation contre le camp d’Aida, au nord de Beith Lehm, durant lequel des tirs de gaz lacrymogènes et de bombes assourdissantes en direction des maisons des citoyens Palestiniens ont été signalés. De son côté, le Croissant-Rouge palestinien a indiqué qu’un jeune Palestinien avait reçu une balle dans la poitrine, relevant que les forces d’occupation ont empêché le personnel médical de s’approcher de lui et ont même procédé à son arrestation. Depuis le 7 octobre, l’armée sioniste mène quotidiennement des raids et des incursions dans des villages et des villes de Cisjordanie et à El Qods occupées, marquées par des attaques, des arrestations et des tirs de balles et de gaz lacrymogènes.

Un demi-million de civils palestiniens pris au piège dans le nord de Ghaza,selon Oxfam

Oxfam s’est dit préoccupée par le sort d’environ 500.000 Palestiniens actuellement pris au piège dans le nord de Ghaza, théâtre d’une agression sioniste barbare depuis le 7 octobre dernier.La décision de l’entité sioniste de priver les habitants de Ghaza d’articles essentiels à leur survie, tels que la nourriture, l’eau, le carburant, les médicaments et autres, équivaut à « une punition collective et à une violation du droit humanitaire international », selon Oxfam.L’ONG affirme qu’il existe un risque de conséquences encore « plus atroces » pour la vie des 500.000 civils pris au piège dans le nord de Ghaza. Les plus de deux millions de personnes actuellement « enfermées » dans la partie sud de Ghaza sont également confrontées à « une situation dangereuse, chaotique et incertaine », avec un manque d’eau, de nourriture, de médicaments et de carburant, prévient la confédération composée d’une vingtaine d’organisations caritatives indépendantes à travers le monde.La même confédération condamne l’entité sioniste pour l’évacuation de Palestiniens du nord de Ghaza – qui équivaut à un transfert forcé – ainsi que pour ses agressions qui ont coûté la vie à plus de 10.000 Palestiniens.     L’entité sioniste « utilise la famine comme arme de guerre, un crime au regard du droit humanitaire international », insiste Oxfam, assurant que la situation ne s’est pas améliorée après l’entrée d’une petite quantité d’aide via Rafah. A cet égard, Oxfam appelle à « un cessez-le-feu immédiat, à l’octroi d’un accès et d’une aide humanitaire », et demande à la communauté internationale de faire pression pour mettre fin à l’occupation prolongée du territoire palestinien par l’entité sioniste, y compris la levée du blocus de Ghaza.

La mort de milliers d’enfants à Ghaza fait penser à un « génocide »

Le représentant du Brésil à la conférence humanitaire sur Ghaza, l’ex-ministre Celso Amorim, s’est déclaré jeudi en faveur d’un « cessez-le-feu », estimant que la mort de milliers d’enfants palestiniens dans des bombardements sionistes fait penser à « un génocide ». »La mort de milliers d’enfants est choquante. Le mot génocide vient inévitablement à l’esprit », a lancé l’ancien ministre des Affaires étrangères et de la Défense brésilien.Dans la bande de Ghaza, les bombardements sionistes ont fait 10.812 morts, essentiellement des civils incluant 4.412 enfants, selon le ministère de la Santé palestinien. »Un cessez-le-feu humanitaire est essentiel », a déclaré Celso Amorim.Lundi, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a qualifié Ghaza de « cimetière pour les enfants ».Les agressions sionistes se poursuivent sans répit dans les territoires palestiniens. Depuis 34 jours, l’armée sioniste mène une agression dévastatrice contre l’enclave palestinienne.

4 600 femmes enceintes ont besoin de soins

Près de 4 600 femmes enceintes déplacées et 380 nouveau-nés vivant dans les installations de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) dans la bande de Ghaza ont besoin de soins médicaux, a indiqué jeudi l’agence de l’ONU. »Nous œuvrons à prodiguer des soins postnatals, mais les conditions dans les abris ne sont pas adaptées aux nouveau-nés », a souligné l’Office sur la plateforme « X ».L’UNRWA a indiqué qu' »environ 4 600 femmes enceintes déplacées et 380 nouveau-nés vivent dans nos installations et ont besoin de soins médicaux ».Dans un autre message distinct diffusé sur X, l’UNRWA a évoqué des rapports du Fonds des Nations Unies pour la population qui font état de la présence de 50 000 femmes enceintes dans la bande de Ghaza et de plus de 180 naissances par jour.Pour le trente-quatrième jour consécutif, l’armée sioniste mène une guerre dévastatrice dans la bande de Ghaza. Les raids de l’aviation sioniste ont rasé des quartiers entiers, tué 10 812 Palestiniens – dont 4 412 enfants et 2 918 femmes, selon le dernier bilan des autorités palestiniennes à Ghaza, diffusé jeudi.

Pas moins de 2400 Palestiniens arrêtés par les forces sionistes depuis le 7 octobre

Le Club des prisonniers palestiniens a annoncé que l’entité sioniste avait arrêté, vendredi à l’aube, au moins 90 Palestiniens en Cisjordanie occupée, portant le nombre de détenus à 2400 depuis le 7 octobre dernier, date marquant le début de l’agression sioniste en cours à Ghaza. Le club a déclaré dans un communiqué : « Les forces d’occupation ont arrêté au moins 90 citoyens palestiniens, dont une femme, entre jeudi soir et vendredi à l’aube, dans des villes et villages de Cisjordanie, y compris El Qods-Est ». Il a souligné que le nombre de détenus en Cisjordanie s’est élevé à plus de 2 400 Palestiniens depuis le 7 octobre et que « les arrestations se sont accompagnées d’actes systématiques d’abus contre les détenus et leurs familles », selon le communiqué.L’organisation a accusé l’armée sioniste d’être derrière la mort en martyr du mineur Muhammad Azba (17 ans) après son arrestation.La Société du Croissant-Rouge palestinien a précédemment déclaré que ses équipes avaient reçu le corps d’un Palestinien arrêté et blessé avant l’annonce de sa mort.Selon des médias, les arrestations sont effectuées en perquisitionnant les maisons palestiniennes pendant la nuit jusqu’à l’aube, et les détenus sont transférés dans des centres de détention temporaires, avant d’être conduits vers les principaux centres d’enquête ou des prisons.Depuis le 7 octobre dernier, l’armée sioniste mène quotidiennement des raids et des incursions dans des villages et des villes de Cisjordanie et à El Qods, accompagnées d’arrestations et de tirs de balles et de gaz lacrymogènes.

l’OMS met en garde contre la propagation de maladies infectieuses

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a tiré la sonnette d’alarme face à la propagation rapide des maladies infectieuses à Ghaza avec la perturbation des établissements de santé, des réseaux d’eau et d’assainissement, à la suite de l’agression sioniste. Dans un communiqué de presse, l’organisation indique, jeudi, que « les pénuries de carburant ont entraîné la fermeture des usines de dessalement, obligeant les gens à boire de l’eau contaminée et augmentant le risque de propagation d’infections bactériennes. La pénurie de carburant a également perturbé toute collecte de déchets solides, créant un environnement propice à la propagation rapide et généralisée d’insectes et de rongeurs pouvant transmettre des maladies ». L’organisation a souligné en outre que « le risque est double pour les populations déplacées en particulier, car un grand nombre d’entre elles vivent dans des abris surpeuplés, dépourvus d’installations d’hygiène personnelle et d’eau potable en quantité suffisante ».L’organisation a également averti que les dégâts causés aux réseaux d’eau et d’assainissement et la diminution des produits de nettoyage ont rendu impossible le respect des mesures de base de prévention et de contrôle des infections au sein des établissements de santé, y compris parmi les agents de santé. A cela s’ajoutent les risques résultant de l’interruption du travail de vaccination de routine, de la pénurie de médicaments nécessaires au traitement des maladies transmissibles.

18 hôpitaux sont hors service depuis le 7 octobre

Le ministère palestinien de la Santé a annoncé vendredi que 18 hôpitaux de la bande de Ghaza étaient hors service depuis le début de l’agression sioniste, le 7 octobre.La ministre palestinien de la Santé, Mai Al-Kaila, a déclaré dans le communiqué que l’entité sioniste « tourne le dos à la communauté internationale et poursuit ses crimes contre les hôpitaux, les centres de santé et les lieux d’hébergement dans la bande de Ghaza ».L’occupation commet « un crime complexe contre les hôpitaux et le personnel médical », a ajouté Al-Kaila. Cette dernière a noté que l’entité sioniste a commencé par « empêcher l’entrée de carburant et de consommables médicaux dans ces établissements de santé, et aujourd’hui elle conclut en ciblant directement les hôpitaux avec des bombardements ».La responsable palestinienne a affirmé que (l’entité sioniste) « a pris pour cible, vendredi à l’aube, un certain nombre d’hôpitaux dans la bande de Ghaza, au moment où nous avertissions d’une catastrophe majeure résultant de ces crimes ». La ministre a relevé dans ce sens que « 18 hôpitaux sont hors service depuis le début de l’agression contre la bande, le 7 octobre dernier ».Un certain nombre de Palestiniens sont tombés en martyrs et d’autres ont été blessés, notamment des enfants et des femmes, vendredi, à la suite d’un bombardement de l’armée sioniste qui a visé le bâtiment des cliniques externes de l’hôpital Al-Shifa, selon l’agence de presse palestinienne .Depuis 35 jours, l’armée sioniste mène une agression contre Ghaza faisant 10.966 martyrs et environ 28 500 blessés, selon le ministère palestinien de la Santé.

La moitié des logements de Ghaza détruits en un mois

Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a annoncé que 50% des logements à Ghaza ont été détruits en un mois à la suite des attaques barbares de l’armée sioniste.Le sous-secrétaire général des Nations Unies, Abdullah Al-Dardari, et la secrétaire général de la Commission économique et sociale des Nations Unies pour l’Asie occidentale (CESAO), Rula Dashti ont présenté jeudi un rapport intitulé : « La guerre de Ghaza : les répercussions ».L’impact social et économique attendu sur l’Etat de Palestine. Al-Dardari a rapporté que 50% du parc immobilier de Ghaza a été détruit en seulement un mois. A son tour, Dashti a déclaré : « La destruction à Ghaza a atteint un niveau sans précédent ». Elle a souligné que 96% des habitants de Ghaza qui ne peuvent pas accéder aux services de base souffrent d’une pauvreté multidimensionnelle. Dashti a souligné la nécessité pour la communauté internationale de s’unir pour établir une paix durable.S’agissant du rapport, il indique que l’activité économique palestinienne a été exposée à un choc sévère en raison du siège complet de Ghaza, de la destruction des capitaux, des déplacements forcés et des restrictions imposées à la circulation des personnes et des biens en Cisjordanie. Il est indiqué en outre qu’environ 390 000 opportunités d’emploi ont été perdues depuis le début de la guerre. Selon le document, les pertes de PIB pourraient se situer entre 4 et 12% en 2023, et entre 4 et 9% en 2024, par rapport aux estimations d’avant-guerre, en fonction de la durée de la guerre.Le rapport prévoit que le taux de pauvreté augmentera fortement, entre 20 et 45%t, selon la durée de la guerre.Il explique également que les répercussions économiques de la guerre auront des effets directs et indirects sur la situation humanitaire.Il est souligné dans le même document que la reprise économique à Ghaza ne sera pas réalisée immédiatement après la mise en œuvre du cessez-le-feu, étant donné l’ampleur des destructions et la faible capacité d’accès aux ressources en raison du blocus, y compris les matériaux et équipements.

99 employés de l’UNRWA tués depuis le 7 octobre

L’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA)  déclaré jeudi que 99 de ses employés ont été tués dans la bande de Ghaza depuis le début de l’agression sioniste, le 7 octobre. « Le mois dernier a été douloureux pour l’UNRWA », a déclaré le commissaire général de l’UNRWA, Philippe Lazzarini, lors de la Conférence humanitaire internationale sur Ghaza.Il a déclaré : « 99 de mes collègues, hommes et femmes, ont été tués à Ghaza. C’est de loin le plus grand nombre de travailleurs humanitaires des Nations Unies tués dans un conflit en si peu de temps ».Lazzarini a ajouté que pousser un million de personnes à quitter leurs foyers et les concentrer dans des zones dépourvues d’infrastructures adéquates constitue un « déplacement forcé » et que restreindre sévèrement la nourriture, l’eau et les médicaments est une « punition collective ».Concernant sa visite à Ghaza la semaine dernière, il a déclaré : « Pour la première fois depuis le début de la guerre, j’ai visité une école de l’UNRWA qui abrite des milliers de personnes, et c’était une situation triste et déchirante ».Lazzarini a déclaré que « plus de 700 000 personnes déplacées vivent dans des conditions humiliantes similaires dans 150 écoles et bâtiments de l’UNRWA à travers la bande de Ghaza. Nos abris sont surpeuplés, avec peu de nourriture, d’eau et d’intimité ». »Les conditions sanitaires épouvantables représentent une menace imminente pour la santé publique », a-t-il prévenu.

Conférence humanitaire sur Ghaza: un milliard d’euros d’aide récoltés

La conférence humanitaire organisée jeudi à Paris pour tenter de débloquer l’aide vers Ghaza a permis d’atteindre un milliard d’euros d’engagements nouveaux depuis l’agression sioniste le 7 octobre dernier contre l’enclave palestinienne et les villes et villages de la Cisjordanie occupée. A l’issue de la conférence, les organisateurs ont annoncé que les engagements pris jeudi par les pays participants dépassaient le milliard d’euros, tout en précisant ensuite que cela pouvait inclure, selon les cas, des contributions déjà décidées depuis le début de l’agression sioniste contre les Palestiniens dans la bande de Ghaza et la Cisjordanie occupée depuis le 7 octobre dernier.            Une grande partie de cette aide servira à répondre aux besoins de l’ONU pour aider la population des territoires palestiniens occupés, estimés à 1,2 milliard de dollars jusqu’à fin 2023. L’agression sioniste a fait plus de 10.966 martyrs et 28.500 blessés, la plupart étant des enfants et des femmes, selon le ministère palestinien de la Santé.        

La militante palestinienne Mariam Abou Daqqa violemment interpellée à Paris

La militante palestinienne Mariam Abou Daqqa a été interpellée tard mercredi soir à Paris, quelques heures après la validation de son expulsion par la plus haute juridiction administrative française, selon des sources policières et son avocate.La militante a été placée sous le régime de la « retenue administrative », a précisé tard jeudi son avocate, Julie Gonidec.Mariam Abou Daqqa (72 ans) va maintenant être assignée à résidence ou placée en centre de rétention, a précisé l’avocate. « Et on contestera », a-t-elle ajouté. Selon Me Gonidec, Mariam Abou Daqqa avait un « billet (retour) réservé pour le 11 » novembre pour se rendre en Egypte.Elle devait ensuite « regagner son domicile et sa famille à Ghaza », a ajouté le Nouveau parti anticapitaliste (NPA, gauche radicale) dans un communiqué, dénonçant un « acharnement » de l’Etat français.Une cinquantaine de personnes se sont réunies jeudi soir près de la Préfecture de police à Paris pour réclamer la libération de Mariam Abou Daqqa, dénonçant également les conditions de son interpellation, peu après sa participation à une soirée-débat dans un cinéma parisien.Selon des militantes présentes avec elle, des policiers sans signe distinctif l’ont interpellée sans ménagement alors qu’elle regagnait le domicile où elle était logée. « Ils se sont mis à quatre ou cinq sur Mariam. Ils l’ont levée comme un sac de patates, ils l’ont emmenée par les poignets et les pieds et l’ont jetée à l’arrière d’une voiture », a affirmé une de ces militantes, Sarah Katz, disant avoir été bousculée dans l’opération.La plus haute juridiction administrative française a infirmé une décision du tribunal administratif de Paris, qui avait suspendu l’arrêté d’expulsion pris par le ministère de l’Intérieur à son encontre.

Des syndicalistes bloquent une usine d’armements en Angleterre

Des dizaines de syndicalistes ont bloqué vendredi l’une des usines du fabricant d’armes BAE Systems dans le sud-est de l’Angleterre, accusant le groupe britannique de fabriquer des composants d’avions militaires utilisés par l’entité sioniste pour bombarder la bande de Ghaza. Réunis sous la bannière « Travailleurs pour une Palestine libre », les militants ont bloqué à partir de 7H du matin les entrées de la fabrique d’armes près de Rochester, dans le Kent, derrière une banderole « les armes fabriquées ici tuent à Ghaza », ont constaté des médias.Selon les organisateurs, plus de 400 représentants des syndicats Unite,Unison, GMB ou NEU travaillant dans l’enseignement, la santé ou encore l’hôtellerie ont participé au blocage, avec des drapeaux palestiniens et des pancartes « les contribuables ont du sang sur les mains » ou « arrêtez d’armer la machine de guerre » sioniste.  Dans un communiqué, ils ont appelé le gouvernement britannique à mettre fin « à sa complicité dans les crimes de guerre commis en Palestine, en arrêtant de vendre des  armes à (l’entité sioniste) et en soutenant un cessez-le-feu immédiat ».Ce blocus a été organisé dans le cadre d’une journée d’action internationale à l’appel des syndicats palestiniens, avec des manifestations prévues dans plusieurs pays.Dans la bande de Ghaza, les bombardements sionistes ont fait 10.966 martyrs et 28.500 blessés, essentiellement des civils parmi lesquels 4.412 enfants, selon le ministère palestinien de la Santé.            Le groupe britannique BAE Systems est un géant de l’armement, la défense et l’aéronautique en Europe, et travaille sur des programmes de développement d’avions de combat, des chars militaires ou encore de sous-marins à propulsion nucléaire.