Aucune zone dans la bande de Ghaza n’est à l’abri des frappes aériennes ou terrestres meurtrière de l’armée d’occupation sioniste de jour comme de nuit. hier 26 Palestiniens sont tombés en martyrs et d’autres ont été blessés.
Le Croissant-Rouge palestinien a fait état mercredi de cinq personnes tombées en martyrs dans des frappes sionistes à Toubas, en Cisjordanie occupée, a déclaré son porte-parole, Ahmed Jibril. Pour sa part le directeur de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré que les attaques sionistes contre les tentes de civils déplacés dans la ville de Khan Younis ont démontré une fois de plus la nécessité urgente d’un cessez-le-feu »,a-t-il ajouté. Le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a fermement condamné la frappe aérienne meurtrière de l’armée d’occupation sioniste contre une zone humanitaire présumée sécurisée, dans le sud de la bande de Ghaza. « Je peux vous dire que le Secrétaire général est profondément alarmé par les pertes humaines continues à Ghaza », a déclaré mardi, Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général des Nations unies, aux journalistes. Il « condamne fermement » l’attaque aérienne perpétrée par l’entité Sioniste aujourd’hui contre une zone désignée par l’occupant pour les personnes déplacées à Khan Younès. « L’utilisation d’armes lourdes dans des zones densément peuplées est inacceptable », a-t-il ajouté.
Au moins 40 personnes sont tombées en martyres et des dizaines d’autres ont été blessées lors de frappes aériennes des forces sionistes mardi matin sur un camp de tentes à Khan Younès, dans la région d’al-Mawasi, que l’entité Sioniste a désignée comme « zone humanitaire » pour les civils déplacés à Ghaza. Le service de défense civile de Ghaza a déclaré que les missiles des forces d’occupation sioniste avaient provoqué des cratères atteignant neuf mètres de profondeur dans la zone.La guerre menée par l’entité sioniste contre Ghaza a, jusqu’à présent, fait 41 100 martyrs, pour la plupart des femmes et des enfants, et près de 94 800 blessés, selon les autorités sanitaires locales.