ONS: Le parc national automobile compte près de 6 millions de véhicules à fin 2016

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Le parc national automobile comptait 5.986.181  véhicules à fin 2016, contre 5.683.156 véhicules à fin 2015, en hausse de  5,33%, correspondant à une augmentation de 303.025 unités entre les deux  années. Concernant le nombre de véhicules qui ont été immatriculés et  réimmatriculés en 2016, il a atteint 1.856.150 dont 192.171 véhicules  neufs, contre 1.505.403 opérations d’immatriculation et de  réimmatriculation en 2015, soit une augmentation de 23%.

Les véhicules immatriculés portent sur les véhicules neufs ainsi que les  véhicules réformés et accidentés qui ont été réintégrés dans le parc  national automobile. Par semestre, le nombre de véhicules immatriculés et réimmatriculés a  atteint 1.004.083 unités au premier semestre 2016, tandis que le second  semestre a enregistré 852.067 opérations d’immatriculation et de  réimmatriculation, soit une diminution de 152.016 véhicules par rapport au  premier semestre 2016, correspondant à un recul de 15,14%. Le nombre de véhicules neufs immatriculés durant le deuxième semestre de  2016 a enregistré une augmentation de plus de 12.000 véhicules, soit une  hausse de 14,25%. Par catégorie, ce sont les véhicules de tourisme qui ont fait l’objet du  plus grand nombre d’immatriculation et de réimmatriculation en 2016, avec  un nombre de 1.385.275 véhicules, soit 73,17% de la totalité des véhicules  immatriculés et réimmatriculés durant l’année dernière. Concernant la répartition régionale, les cinq premières wilayas qui ont  compté le plus grand nombre d’opérations d’immatriculation et de  réimmatriculation sont celles d’Alger avec 146.662 unités (15,74% de la  totalité), suivie de Blida avec 136.584 (14,53%), de Tebessa avec 92.501  unités (10,07%), de Constantine avec 78.625 (8,5%) et de Djelfa avec 72.707  (7,86%).  Les immatriculations définitives des véhicules neufs renseignent sur  les mises en circulation des véhicules vendus, explique l’ONS.  L’examen de ces immatriculations définitives, au regard des importations,  fait apparaître qu’une bonne partie des véhicules n’est pas immatriculée au  cours de leur année d’importation, constate l’ONS.