Le salon national du cheval de retour: Tiaret hôte de la manifestation, prévue du 11 au 13 septembre

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Le secrétaire général de la wilaya de Tiaret, Mourad Rabah Yeza, a présidé jeudi une réunion de travail au siège de la wilaya, consacrée aux dernières retouches avant la tenue de la manifestation culturelle du salon national du cheval et de l’équitation 2025, prévue du 11 au 13 septembre prochain. En effet, tenue en présence du DAL, le directeur du tourisme et l’artisanat, le directeur des Services agricoles, la directrice de la culture et des arts, le directeur de la jeunesse et des sports, le président de la ligue des sports équestres (fantasia), le directeur du haras national de Chaouchaoua et le secrétaire général de la chambre de l’Agriculture, la réunion a été consacré aux derniers préparatifs de la 10ème édition du salon national du cheval et de l’équitation.

Le wali avait déjà instruit les services concernés pour l’élaboration d’une fiche technique englobant toutes les activités liées à cette manifestation culturelle à caractère national. La dernière édition du salon national du cheval s’est tenue en 2016, avec la participation de plus de 1.500 cavaliers venus de 22 wilayas du pays. Selon le premier responsable de la wilaya, ce salon vise principalement à promouvoir la culture du cheval et de l’équitation dans la wilaya, connue pour être le berceau du noble équidé.

La capitale des Hauts plateaux de l’ouest s’est forgée une bonne renommée dans ce domaine et dispose de plusieurs structures dédiées au cheval, à l’exemple de la jumenterie Chaouchaoua, le centre équestre Emir Abdelkader et l’office national d’élevage équin et camélidés (ONDEEC). Cette 10ème édition du Salon national du cheval intervient dans un contexte où le secteur équin pâtit de moult difficultés. Les amoureux du meilleur compagnon de l’homme espèrent bien voir le noble équidé reprendre ses lettres de noblesse, 40 ans après sa création en 1985. Le développement et la promotion de l’élevage équin en Algérie semble bien revenir en tête des priorités des autorités, pour en faire une autre belle vitrine d’une Algérie attachée à sa culture et traditions ancestrales.

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