Les factions palestiniennes ont appelé à un mouvement de grève générale hier lundi dans les territoires occupés, afin de faire pression sur l’entité sioniste pour qu’elle mette fin à son agression génocidaire contre la bande de Ghaza, en cours depuis le 7 octobre 2023.
Dans un communiqué repris dimanche par des médias locaux, les factions palestiniennes ont appelé « tous les Palestiniens des territoires occupés et des camps de réfugiés, ainsi que leurs sympathisants, à se joindre à la grève prévue lundi, pour mettre en lumière les massacres et les crimes odieux (commis par l’occupation sioniste), notamment les meurtres de civils, d’enfants et de femmes, et les destructions visant à déplacer le peuple palestinien ». Elles ont appelé « à une action urgente pour mettre fin à l’agression contre la bande de Ghaza, eu égard à l’échec de la communauté internationale à imposer des sanctions à l’occupation ou à demander des comptes à son gouvernement terroriste ».Le bilan de l’agression génocidaire sioniste contre la bande de Ghaza s’est alourdi à 50.695 martyrs et 115.338 blessés, depuis le 7 octobre 2023, ont indiqué dimanche les autorités sanitaires palestiniennes. Cet appel a été largement suivi par les gouvernorats de l’Etat palestinien depuis, hier, ont assiste à une grève générale «pour dénoncer l’acharnement de l’entité sioniste contre les civils dans la bande de Ghaza et réclamer un cessez-le feu immédiat». Selon l’agence de presse palestinienne Wafa, «la grève a paralysé tous les secteurs d’activité, dont les universités, les banques, les usines, les magasins, ainsi que les transports publics. La même source a ajouté que «plusieurs marches et sit-in ont été organisés durant hier à travers le pays», notant que «cette action s’inscrit dans le cadre d’un appel international à des marches à travers plusieurs capitales dans le monde pour exiger la fin de l’agression sioniste contre la bande de Ghaza». «La ville de Ghaza est sur le point d’être complètement détruite par les bombardements incessants de l’aviation sioniste», affirme-t-on.
