Le secrétaire général du parti du Front de Libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbes, a affirmé, ce lundi, que l’objectif principal du parti est de préserver les acquis sociaux», appelant ses candidats aux élections locales du 23 novembre à tenir «un discours réaliste» et à ne pas faire de «fausses promesses» aux citoyens.
Lors d’un meeting animé dans la commune de Gué-deConstantine (Alger) en présence de cadres et de militants du parti FLN, Ould Abbes a exhorté les candidats de son parti à «ne pas faire de fausses promesses durant la campagne électorale» et à «tenir un discours réaliste». «L’objectif principal du parti est de prendre en charge toutes les préoccupations des citoyens et de préserver les acquis sociaux grâce au programme du président de la République, Abdelaziz Bouteflika», a soutenu Ould Abbès. Il a ajouté que le programme de son parti est celui «du président de la République, inspiré des principes fondamentaux de la déclaration du 1er Novembre 1954», soulignant que «les élections locales s’inscrivent dans le cadre du combat permanent que mène le FLN pour le parachèvement du processus d’édification du pays». «Le Front de libération nationale (FLN) est le pilier de la société algérienne, grâce à son programme ouvert à toutes les catégories sociales, notamment les plus vulnérables», a-t-il souligné ajoutant que «le FLN ne renoncera jamais à ses enfants, quelles que soient les circonstances». Il a rappelé à ce propos que le parti «continuera de soutenir toutes les catégories du peuple algérien, notamment les orphelins, les veuves et les familles victimes de la décennie noire». Le secrétaire général du FLN a mis en avant l’importance pour les jeunes de s’inscrire sur les listes électorales du parti, soulignant que la liste FLN pour la commune de Gué de Constantine (Alger) comporte les plus jeunes candidats du parti au niveau national. Ould Abbes a rappelé les stations phares de l’histoire du Front de libération nationale, qui a joué, a-t-il dit, «un rôle efficace et décisif dans la libération de la patrie du colonialisme, dans l’édification de l’Etat algérien et dans le recouvrement de la dignité et de la fierté du citoyen algérien.