Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a salué la contribution des travailleurs à la lutte de libération, à l’édification de la patrie et à sa défense durant la tragédie nationale. La classe ouvrière a été, durant la Révolution de novembre, « une réserve de nationalistes et de Moudjahidine, et une source de sacrifices incommensurables signés par des dizaines de milliers de nos travailleurs à leur tête le martyr symbole Aissat Idir », a indiqué le chef de l’Etat dans un message à l’occasion du double anniversaire du 24 février, marquant la création de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) et la nationalisation des hydrocarbures, lu en son nom par le conseiller à la présidence de la République, Mohamed Ali Boughazi. A cette occasion, le président de la République a salué la Direction de l’Union générale des travailleurs algériens pour le choix de la ville de Djelfa pour célébrer cet anniversaire mémorable, un choix, a-t-il dit, « qui marque la place importante des zones rurales de l’Algérie durant la Guerre de libération ». Le président Bouteflika a mis l’accent également sur la contribution des travailleurs algériens à assurer une autonomie financière à la révolution du 1er novembre « une autonomie financière exceptionnelle à notre glorieuse révolution permettant à notre combat libérateur d’être souverain dans ses décisions », a-t-il souligné. « L’esprit nationaliste a été le moteur de la mobilisation des travailleurs du secteur des hydrocarbures lorsque l’Etat algérien a pris la décision de nationaliser cette richesse nationale », a-t-il encore souligné. « Ce sont nos travailleurs et nos ingénieurs qui ont assuré le succès de la démarche de nationalisation des hydrocarbures à une période où de telles mesures étaient un défi pour les sociétés pétrolières mondiales, une décision couronnant le recouvrement de la souveraineté totale de l’Algérie », a ajouté le président Bouteflika. Rappelant la résistance et le combat des travailleuses et des travailleurs durant la tragédie nationale pour que l’Algérie « demeure debout et que son économie prospère au milieu de la destruction », le chef de l’Etat a indiqué que « la classe ouvrière a payé un lourd tribut de martyrs du devoir national dans les usines et les Administrations dont le seul tort était d’avoir voulu que l’Algérie reste debout ». Le secrétaire général de l’UGTA « Abdelhak Benhamouda fut le symbole
de ce martyre et de ces sacrifices », a-t-il ajouté. « Si les travailleuses et travailleurs étaient à l’avant garde à l’appel de la patrie pour la sauver de la destruction et du chaos, ils étaient aussi mobilisés et engagés en faveur de l’option de la concorde civile et de la paix et la réconciliation nationales, des options inspirées des valeurs de notre religion et imprégnées de l’unité de notre peuple, elles constituèrent le pont qui a permis à l’Algérie de passer de la tragédie et de la tourmente à la scène de la construction et l’édification et de la paix et la fraternité », a conclu le président de la République. Le chef de l’Etat a, en outre, affirmé, que la véritable victoire pérenne sur la crise financière actuelle passait par « une relance solide et multidimensionnelle aux fins de remettre sur rail le processus de construction de l’économie nationale, une économie libérée de l’hégémonie des hydrocarbures et diversifiée ». « La véritable victoire pérenne sur cette crise financière est celle de mettre l’Algérie à l’abri de son itération tout comme elle exige de nous, Algériennes
et Algériens, une relance solide et multidimensionnelle aux fins de remettre sur rail le processus de construction de l’économie nationale, une économie libérée de l’hégémonie des hydrocarbures et diversifiée à l’image de la diversification des capacités agricoles, touristiques, minières, industrielles et autres de notre pays », a estimé le président de la République dans un message à l’occasion de la célébration du double anniversaire de la création de l’union générale des travailleurs algériens (UGTA) et de la nationalisation des hydrocarbures lu en son nom par le conseiller à la présidence de la République, Mohamed Ali Boughazi. Le chef de l’Etat a considéré qu’ « au coeur même de cette bataille que nous dicte de mener le devoir national, les travailleurs et les travailleuses, représentent le bouclier de l’Algérie et l’exemple à suivre pour perpétuer ce
noble objectif et conforter nos choix nationaux et sociaux hérités de notre glorieuse Révolution. Des choix désormais inscrits au centre de nos constantes
nationales ». « Vous êtes, frères et soeurs travailleurs, conscients que notre pays
subit aujourd’hui les retombées d’une crise économique qui secoue les pays avancés accompagnée d’un recul des cours du pétrole et des fluctuations de son marché mondial. Et ce, malgré les initiatives de notre pays qui ont permis récemment d’apporter une légère amélioration des prix des hydrocarbures », a ajouté le président Bouteflika, soutenant que « si les causes des difficultés financières actuelles de notre Etat étaient exogènes, elles ne sont pas sans impact sur la cadence du développement ». « Un impact que nous avons contenu grâce aux mesures clairvoyantes prises tout au long de ces dernières années », a assuré le président de la République pour qui « l’Etat se doit de poursuivre et d’accélérer l’exécution de nos programmes nationaux et les réformes initiées dans les différents secteurs économiques et administratifs », s’est-il félicité. « L’Etat se doit également d’apporter davantage d’harmonie entre son attachement à préserver le pouvoir d’achat des travailleurs et la prise en charge de la couche démunie, d’une part, et la régulation du marché et la protection des consommateurs de la spéculation, de l’érosion de leurs
revenus et de la dégradation de leur niveau de vie », d’autre part, a insisté le chef de l’Etat. Le président Bouteflika a exhorté travailleurs et travailleuses à gagner la bataille de la production, de la productivité et de la compétitivité afin de garantir l’accès de nos produits aux marchés extérieurs.
Pour le président de la République, il s’agira notamment « de faire évoluer notre vision du capitalisme national intègre et du partenariat étranger équitable en tant que partenaires stratégiques des travailleurs pour le développement économique, et, partant, accepter plus aisément les réformes nécessaires pour l’amélioration des conditions d’investissement dans notre pays ». « Du fait de ce saut qualitatif, il nous incombe aujourd’hui de garantir l’avenir de notre économie et le développement de notre pays et de ne pas prêter attention aux thèses dogmatiques et discours pessimistes. Un saut qui, je le rappelle encore, implique que nous méditions les positions de notre peuple et ses combats menés par le passé pour la liberté d’abord et le développement ensuite afin de nous en inspirer », a affirmé le chef de l’Etat. « C’est donc là mon message pour mes frères travailleurs et mes soeurs travailleuses, un message qui fait appel aux volontés dont vous êtes les dépositaires, un message qui vous exhorte à l’édification, vous les bâtisseurs, un message que nous lançons tous à notre chère et digne Patrie », a conclu le président de la République.
de ce martyre et de ces sacrifices », a-t-il ajouté. « Si les travailleuses et travailleurs étaient à l’avant garde à l’appel de la patrie pour la sauver de la destruction et du chaos, ils étaient aussi mobilisés et engagés en faveur de l’option de la concorde civile et de la paix et la réconciliation nationales, des options inspirées des valeurs de notre religion et imprégnées de l’unité de notre peuple, elles constituèrent le pont qui a permis à l’Algérie de passer de la tragédie et de la tourmente à la scène de la construction et l’édification et de la paix et la fraternité », a conclu le président de la République. Le chef de l’Etat a, en outre, affirmé, que la véritable victoire pérenne sur la crise financière actuelle passait par « une relance solide et multidimensionnelle aux fins de remettre sur rail le processus de construction de l’économie nationale, une économie libérée de l’hégémonie des hydrocarbures et diversifiée ». « La véritable victoire pérenne sur cette crise financière est celle de mettre l’Algérie à l’abri de son itération tout comme elle exige de nous, Algériennes
et Algériens, une relance solide et multidimensionnelle aux fins de remettre sur rail le processus de construction de l’économie nationale, une économie libérée de l’hégémonie des hydrocarbures et diversifiée à l’image de la diversification des capacités agricoles, touristiques, minières, industrielles et autres de notre pays », a estimé le président de la République dans un message à l’occasion de la célébration du double anniversaire de la création de l’union générale des travailleurs algériens (UGTA) et de la nationalisation des hydrocarbures lu en son nom par le conseiller à la présidence de la République, Mohamed Ali Boughazi. Le chef de l’Etat a considéré qu’ « au coeur même de cette bataille que nous dicte de mener le devoir national, les travailleurs et les travailleuses, représentent le bouclier de l’Algérie et l’exemple à suivre pour perpétuer ce
noble objectif et conforter nos choix nationaux et sociaux hérités de notre glorieuse Révolution. Des choix désormais inscrits au centre de nos constantes
nationales ». « Vous êtes, frères et soeurs travailleurs, conscients que notre pays
subit aujourd’hui les retombées d’une crise économique qui secoue les pays avancés accompagnée d’un recul des cours du pétrole et des fluctuations de son marché mondial. Et ce, malgré les initiatives de notre pays qui ont permis récemment d’apporter une légère amélioration des prix des hydrocarbures », a ajouté le président Bouteflika, soutenant que « si les causes des difficultés financières actuelles de notre Etat étaient exogènes, elles ne sont pas sans impact sur la cadence du développement ». « Un impact que nous avons contenu grâce aux mesures clairvoyantes prises tout au long de ces dernières années », a assuré le président de la République pour qui « l’Etat se doit de poursuivre et d’accélérer l’exécution de nos programmes nationaux et les réformes initiées dans les différents secteurs économiques et administratifs », s’est-il félicité. « L’Etat se doit également d’apporter davantage d’harmonie entre son attachement à préserver le pouvoir d’achat des travailleurs et la prise en charge de la couche démunie, d’une part, et la régulation du marché et la protection des consommateurs de la spéculation, de l’érosion de leurs
revenus et de la dégradation de leur niveau de vie », d’autre part, a insisté le chef de l’Etat. Le président Bouteflika a exhorté travailleurs et travailleuses à gagner la bataille de la production, de la productivité et de la compétitivité afin de garantir l’accès de nos produits aux marchés extérieurs.
Pour le président de la République, il s’agira notamment « de faire évoluer notre vision du capitalisme national intègre et du partenariat étranger équitable en tant que partenaires stratégiques des travailleurs pour le développement économique, et, partant, accepter plus aisément les réformes nécessaires pour l’amélioration des conditions d’investissement dans notre pays ». « Du fait de ce saut qualitatif, il nous incombe aujourd’hui de garantir l’avenir de notre économie et le développement de notre pays et de ne pas prêter attention aux thèses dogmatiques et discours pessimistes. Un saut qui, je le rappelle encore, implique que nous méditions les positions de notre peuple et ses combats menés par le passé pour la liberté d’abord et le développement ensuite afin de nous en inspirer », a affirmé le chef de l’Etat. « C’est donc là mon message pour mes frères travailleurs et mes soeurs travailleuses, un message qui fait appel aux volontés dont vous êtes les dépositaires, un message qui vous exhorte à l’édification, vous les bâtisseurs, un message que nous lançons tous à notre chère et digne Patrie », a conclu le président de la République.