Les Nations Unies ont signalé que 270 000 tonnes de déchets solides se sont accumulées à Ghaza, soumise à une guerre génocidaire sioniste depuis plus de six mois, ce qui entraîne de graves problèmes sanitaires et environnementaux.
Le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric, a déclaré, vendredi, que « 270 000 tonnes de déchets solides se sont accumulées à Ghaza. Cela provoque un désastre à la fois environnemental et sanitaire ». Citant les données des municipalités de l’enclave palestinienne, il a noté que « le système de collecte et de gestion des déchets à Ghaza a été gravement endommagé ». Dujarric a, en outre, souligné que les risques pour les travailleurs humanitaires à Ghaza persistent, signalant que « la guerre, la destruction des routes et la découverte de bombes non explosées rendent leur travail difficile ». Le responsable onusien a également noté que « les pénuries de carburant, les restrictions, l’insécurité aux points de passage et le manque de chauffeurs font partie des facteurs qui mettent à rude épreuve l’aide humanitaire ».