Afin d’examiner les moyens de développer les relations économiques bilatérales: Saci reçoit l’ambassadeur de France à Alger

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Dans le cadre des efforts consentis par l’Algérie pour la promotion, la protection et la modernisation de son économie à travers plusieurs programmes dans différents domaines, le ministre du Commerce, Ahmed Saci, a reçu, mardi, l’ambassadeur de France à Alger, Xavier Driencourt, avec lequel il a examiné les voies et les moyens de développer les relations économiques bilatérales, a indiqué un communiqué du ministère du Commerce.

Evoquant les relations qui lient l’Algérie et la France, Saci a déclaré, lors de cette rencontre, «les bonnes» relations existant entre les deux pays, notamment au volet économique et les convergences de vues qui répondent aux intérêts des deux parties afin d’atteindre les objectifs tracés, a ajouté la même source. Pour sa part, l’ambassadeur de France a évoqué les relations politico- économiques entre l’Algérie et la France sur tous les plans. Driancourt, qui a occupé ce poste de 2008 à 2012, a indiqué que son retour en Algérie en tant qu’ambassadeur «s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations à tous les niveaux en se basant sur les orientations du Président Macron qui accorde la priorité dans son programme à l’investissement en Algérie, aux liens d’amitié avec l’Algérie qu’il a visitée en tant que candidat à la présidentielle française, outre l’entente politique sur plusieurs questions régionales avec le président de la République Abdelaziz Bouteflika». La rencontre a permis d’évoquer le système des licences d’importation. Saci a affirmé que cette procédure était «conjoncturelle» et qu’elle n’entraverait pas le développement des relations économiques bilatérales. Le système des licences d’importation est «actuellement la meilleure méthode pour réguler et encadrer le marché selon des normes étudiées et supervisées par des spécialistes», a-t-il estimé, ajoutant que l’Algérie «n’est pas le premier pays au monde qui a adopté ce système. Plusieurs pays l’ont adopté selon les conditions et les objectifs économiques de chaque pays». Le ministre du Commerce a affirmé que son département était disposé à coopérer au mieux des intérêts économiques des deux pays. Amel Driss/Ag.