Reporté à trois reprises, le procès de Kamel Chikhi, dit « El-Boucher » s’est ouvert, hier au tribunal de Sidi M’Hamed, à Alger.
L’homme qui a été, tristement, célèbre par la fumeuse affaire des 701 kg de cocaïne à Oran comparaît, aujourd’hui, en compagnie de douze autres, en sa qualité de promoteur immobilier, sous le chef d’accusation de malversation et corruption dans des affaires liées au foncier. Plus précisément, il devra répondre «d’indus avantages dans l’obtention de livrets et de documents fonciers» en contrepartie de pots de vins servis à des fonctionnaires publics.






