Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a déclaré, mardi à Alger, que la réussite de la prochaine Présidentielle « signera l’échec des ennemis de l’Algérie qui misent sur le fiasco de ce rendez-vous ».
« Nous sommes aujourd’hui devant une échéance décisive en termes de consécration de notre édifice démocratique, en l’occurrence la Présidentielle qui focalise les regards au plan international et dont la réussite signera l’échec des ennemis de l’Algérie qui misent sur le fiasco de ce rendez-vous », a déclaré le ministre dans le cadre de ses réponses aux préoccupations des membres de l’Assemblée populaire nationale (APN) sur le projet de loi le projet de loi relative aux règles générales de prévention des risques d’incendie et de panique. « Les enfants de l’Algérie sauront, ensemble et partant de leur fidélité aux sacrifices des Chouhada de la glorieuse Révolution et du devoir national, barrer la route à toutes les manœuvres », a-t-il affirmé, appelant « tout un chacun à assumer ses responsabilités pour la préservation des acquis réalisés en matière de sécurité et de stabilité et faire face aux enjeux sécuritaires et économiques ». Soulignant qu’avec l’échéance d’avril 2019 sera parachevé le processus électoral dans le cadre de la nouvelle Constitution, le ministre a indiqué que chaque consultation électorale a ses spécificités, « ce qui permettra, à l’avenir, de procéder à une évaluation objective de notre nouveau système juridique et à son amélioration suivant une approche intégrée ». A cette occasion, M. Bedoui a réaffirmé que le rôle de l’administration, dans de tels rendez-vous, « est un rôle organisationnel par excellence », tout en veillant à « la garantie des droits constitutionnels et juridiques de tous les partenaires politiques à la candidature, dans le respect des principes d’égalité, de neutralité et de transparence ». L’administration « a veillé et veille toujours » à la concrétisation de ces droits « en offrant toutes les facilités à tous ceux qui désirent de se porter candidats sans distinction aucune », dans le cadre du respect des lois de la République, a-t-il conclu.
M.H